Interview avec le DCOU

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« L’université de Dschang prépare effectivement la fête de la jeunesse… Toutes les dispositions sont en train d’être prises »

Dschang, UDs/SIC – 05/02/2018. L’Université de Dschang se laisse progressivement prendre par la fièvre des préparatifs de la fête nationale de la jeunesse qui aura lieu dans 6 jours. M. Ebendeng Ondo Valère, Directeur du Centre des Œuvres Universitaires (DCOU) présente l’état desdits préparatifs.

M.le Directeur, comment la prochaine fête nationale de la jeunesse se prépare-t-elle à l’Université de Dschang ?

L’université de Dschang prépare effectivement la fête de la jeunesse. Cela se passe dans un contexte d’examens, et nous mettons les bouchées doubles pour que les examens ne soient pas lésés à cause de la fête et vice versa. Le programme prévoit l’animation dans tous les campus à travers tout le territoire national. Ici au campus principal, les activités débutent ce lundi, dans les établissements, les filières. L’un des moments phares de la semaine c’est le 10 où les étudiants vont offrir à la communauté universitaire, leurs savoir-faire culturels et artistiques. Donc ce sera une grande soirée culturelle […]. C’est aussi à cette occasion que les étudiants pourront suivre en direct, à la salle des Conférences et des spectacles, le discours, le message du Chef de l’État adressé à la jeunesse. Le 11 février, nous allons prendre part au défilé. Toutes les dispositions sont en train d’être prises, d’après les orientations que monsieur le Recteur a données. La grande innovation c’est que, avec l’intégration sous-régionale qui est effective avec la libre circulation des personnes et des biens, nous allons matérialiser cela à travers le club CEMAC qui est un nouveau club et qui s’occupe désormais d’encadrer les étudiants de la sous-région qui sont dans notre université, bien entendu sous notre supervision. Donc nous aurons le carré de la CEMAC qui sera un carré spécial. Si nous avons d’autres étudiants non camerounais, on pourrait les ajouter.

On a remarqué l’année dernière que vous avez tout fait pour qu’il y ait cette intégration avec la participation des étudiants étrangers. Entre deux fêtes de la jeunesse quelle est la suite que vous consacrez souvent à ces étudiants qui relèvent de l’intégration sous-régionale ?

Je voudrais d’abord dire que nous avons remarqué un engouement –ce qui est positif – chez les étudiants non camerounais. Beaucoup veulent désormais participer à la fête. Ça veut dire que le lien est resté, et nous avons tout fait pour les organiser aussi, pour avoir une structure bien définie qui travaille en étroite collaboration avec les services de la DCOU. Ça veut dire que le lien est tissé. Ce sont les étudiants comme tous les autres, et nous les suivons. /

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