A propos de nous
L'université de Dschang est une université publique d'Afrique centrale située dans la ville de Dschang, à l'ouest du Cameroun
L'Université de Dschang est un établissement public scientifique et culturel, ayant pour missions d'élaborer et de transmettre les connaissances ; de développer la recherche et la formation des hommes ; de porter au plus haut niveau et au meilleur rythme de progrès les formes supérieures de la culture et de la recherche ; de procurer l'accès à la formation supérieure à tous ceux qui en ont la vocation et la capacité ; de concourir à l'appui au développement et à la promotion sociale et culturelle, de développer la pratique du bilinguisme.
LES PRINCIPAUX RESPONSABLES DE L'UDS (MAJ SEPTEMBRE 2019)

BIENVENUE A L'UNIVERSITE DE DSCHANG
L’Université de Dschang, à l’instar des sept (07) autres universités d’État du Cameroun, a été créée et organisée par le décret présidentiel N° 93/030 du 19 janvier 1993.
L’Université de Dschang (UDs) fait partie des 08 universités d’Etat du Cameroun. Créée à la faveur de la réforme universitaire par le décret n° 93/026 du 19 janvier 1993, elle hérite de l’ex Centre universitaire de Dschang qui avait une vocation essentiellement agro sylvo pastorale. A ce jour, huit établissements y fonctionnent effectivement : la Faculté des Lettres et Sciences Humaines (FLSH), la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FSEG), la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP), la Faculté des Sciences (FS), la Faculté d’Agronomie et des Sciences Agricoles (FASA), l’Institut Universitaire de Technologie (IUT) Fotso Victor à Bandjoun et l’Institut des Beaux-Arts à Foumban (IBAF), la Faculté de Médecine et des Sciences Pharmaceutiques (FMSP)
L’institution dispose de neuf campus dans 6 des 10 régions du pays, à savoir, des antennes pédagogiques et de recherche à Bambui (Nord-Ouest), Belabo (Est), Ebolowa (Sud), Maroua (Extrême-Nord), Yaoundé-Nkolbisson (Centre), Bafia (Centre). A l’Ouest, on a le campus principal à Dschang et deux établissements à Bandjoun et à Foumban. Cette année 2014/2015, l’institution encadre environ 35 000 étudiants Camerounais et étrangers. Ces derniers sont suivis par 510 enseignants permanents, 49 attachés d’enseignement… et 583 personnels d’appui. Les permanents sont soutenus par des vacataires, surtout venant des entreprises et organisations diverses, sollicités dans le cadre de la professionnalisation.
Au regard des avis d’opérateurs économiques et des responsables d’administrations, l’on peut affirmer que la communauté est fière de la qualité de la formation proposée. L’UDs s’est en effet donnée pour but, depuis une vingtaine d’années, d’offrir une formation qui répond aux besoins de développement et de rayonnement du Cameroun à l’intérieur du pays comme à l’étranger. La poursuite de ce but est facilitée autant par l’inscription des activités académiques dans le système Licence-Master-Doctorat que par l’ancrage sur la politique de développement national exprimée dans le Document de Stratégie pour la Croissance et l’Emploi (DSCE). A l’UDs, la célébration de chaque succès est une amorce de la réflexion sur les défis qui interpellent l’institution.
Des défis à relever
Parmi les défis qui seront relevés grâce aux investissements de l’Etat et avec le concours de la communauté et des partenaires, l’on peut citer : l’implémentation de la nouvelle gouvernance dans ses différents volets (académique, managérial, financier, numérique, social, etc.) ; l’accroissement des infrastructures d’accueil ; le renforcement des moyens didactiques (laboratoires et centres de documentation notamment) ; la consolidation de la professionnalisation ; l’amélioration de la mise en œuvre du système intégré de gestion des établissements du supérieur ; la promotion de l’agriculture de deuxième génération ; l’affermissement du dialogue social, de la paix et de la sérénité sur les campus ; la consolidation de l’école doctorale – spécifiquement dans le sens d’une plus grande articulation entre la recherche universitaire et les problèmes de développement ; etc. Ces défis sont courageusement affrontés au quotidien par une équipe dynamique.
Un saut qualitatif dans la gouvernance numérique
Au cours de l’année académique 2013/2014, l’UDs a fait un bond dans la gouvernance numérique. Elle entend poursuivre dans la même lancée sa modernisation numérique dans les années qui viennent. Le processus de gestion à distance sur une plateforme numérique de la scolarité des étudiants est désormais enclenché à partir des préinscriptions, inscriptions, paiement des droits universitaires, etc., en ligne. Avec sigesonline, les étudiants, tout autant que le personnel des services de scolarité des établissements et même les parents d’étudiants se sont rapidement mis à la page. L’évolution des fonctionnalités et de l’utilisation de la plateforme conduira vers d’autres services en ligne à valeur ajoutée pour les étudiants. Au-delà d’un site web dynamique par exemple – portail d’information par excellence de l’université – l’UDs est appelée à s’inscrire positivement dans divers réseaux sociaux qui renforcent ses liens avec cette communauté d’apprenants, d’enseignants, de chercheurs et de professionnels dans divers champs d’activités.
Un renouveau de la gouvernance infrastructurelle
L’UDs célèbre depuis quelques années le renouveau de sa gouvernance infrastructurelle. A Bandjoun, un nouveau complexe administratif et pédagogique qui s’offre à la vue dès l’entrée du campus est en utilisation depuis 2014. A Dschang, l’amphithéâtre de 1000 places, qui trône désormais majestueusement sur le campus principal, entre en utilisation en 2015. Les travaux du bloc laboratoire de la FASA et du bloc décanat inter facultaire sont terminés. A Ebolowa, où il y a la filière des métiers du bois, de l’eau et de l’environnement de la FASA, l’édification des infrastructures pédagogiques et administratives se poursuit sereinement. A Foumban, l’éblouissant complexe administratif de l’IBAF se dresse fièrement à l’entrée de la « cité des arts ». Dans les antennes, des aménagements sont faits en lien avec la sécurisation foncière. A Maroua, le tout premier Centre d’études pour l’environnement et le développement du Cameroun a repris pleine vie avec la nomination, par le ministre de l’Enseignement supérieur, d’une nouvelle chef d’antenne. Il en est de même pour le CRESA-Forêts Bois de Yaoundé-Nkolbisson où le nouveau chef d’antenne redynamise autant les programmes d’enseignement que les pratiques d’hygiène et de salubrité pour protéger le patrimoine. Bambui, aussi, subit une cure de jouvence avec le point d’honneur mis par la chef d’antenne sur l’entretien curatif des infrastructures qui accueillent les élèves-ingénieurs lors de leurs stages écologiques.
La professionnalisation à la croisée des initiatives
L’UDs poursuit sa logique de professionnalisation des enseignements. En dehors de la FASA, de l’IUT et de l’IBAF dont la vocation est la formation à des métiers, toutes les facultés (FLSH, FSJP, FS, FSEG) ont de multiples formations professionnelles de niveau licence et/ou master. Toutes ces formations sont consultables sur le site web de l’UDs, www.univ-dschang.org, qui diffuse par ailleurs des informations générales sur les activités de l’institution. Au sujet de ces filières professionnelles, celle qui était sous les feux de l’actualité au 1er semestre 2014, c’est la filière « sciences biomédicales » de la FS qui forme pour des masters de pharmacie et de kinésithérapie en délocalisation des universités italiennes. La première partie de la formation (3 semestres) a lieu à Dschang et la seconde (3 semestres) en Italie. La promotion inaugurale des 17 élèves-pharmaciens est allée terminer les études dans les universités de Camerino et d’Urbino en fin février 2014. L’UDs assure par ailleurs la tutelle académique d’une trentaine d’Instituts privés d’enseignement supérieur.
Le GIE/UDs, une interface entre l’université et la société
Pour donner pleinement leur sens à ses efforts pour le progrès, l’UDs articule la formation et le développement. C’est dans ce sens et, subsidiairement, dans l’espoir d’ouvrir des possibilités de ressources additionnelles faire plus efficacement face aux pesantes charges de l’institution, que le Groupement d’Intérêt Economique (GIE) créé en 2006 a été revigoré. A l’intérieur de l’université, le GIE a rationnalisé l’exploitation de certains capitaux jadis immobilisés (fermes, matériel roulant, équipements fixes, etc.). Il a constitué un pool d’experts intervenant dans des domaines très variés. Hors de l’UDs, le GIE appuie le gouvernement dans de nombreux projets et sait se mettre au service des populations pour contribuer à leur développement. A travers cette organisation, l’UDs voudrait se positionner désormais, entre autres, comme un centre d’excellence pour l’économie verte et le développement durable.
In fine, l’Université de Dschang qui, comme toutes les autres universités d’Etat, remplit des missions d’enseignement, de recherche et d’appui au développement, entend ainsi apporter décisivement son concours à la poursuite de l’objectif d’émergence décliné dans cette vision : « Le Cameroun : un pays émergent, démocratique et uni dans sa diversité » à l’horizon 2035.
L’institution dispose de neuf campus dans 6 des 10 régions du pays, à savoir, des antennes pédagogiques et de recherche à Bambui (Nord-Ouest), Belabo (Est), Ebolowa (Sud), Maroua (Extrême-Nord), Yaoundé-Nkolbisson (Centre), Bafia (Centre). A l’Ouest, on a le campus principal à Dschang et deux établissements à Bandjoun et à Foumban. Cette année 2014/2015, l’institution encadre environ 35 000 étudiants Camerounais et étrangers. Ces derniers sont suivis par 510 enseignants permanents, 49 attachés d’enseignement… et 583 personnels d’appui. Les permanents sont soutenus par des vacataires, surtout venant des entreprises et organisations diverses, sollicités dans le cadre de la professionnalisation.
Au regard des avis d’opérateurs économiques et des responsables d’administrations, l’on peut affirmer que la communauté est fière de la qualité de la formation proposée. L’UDs s’est en effet donnée pour but, depuis une vingtaine d’années, d’offrir une formation qui répond aux besoins de développement et de rayonnement du Cameroun à l’intérieur du pays comme à l’étranger. La poursuite de ce but est facilitée autant par l’inscription des activités académiques dans le système Licence-Master-Doctorat que par l’ancrage sur la politique de développement national exprimée dans le Document de Stratégie pour la Croissance et l’Emploi (DSCE). A l’UDs, la célébration de chaque succès est une amorce de la réflexion sur les défis qui interpellent l’institution.
Des défis à relever
Parmi les défis qui seront relevés grâce aux investissements de l’Etat et avec le concours de la communauté et des partenaires, l’on peut citer : l’implémentation de la nouvelle gouvernance dans ses différents volets (académique, managérial, financier, numérique, social, etc.) ; l’accroissement des infrastructures d’accueil ; le renforcement des moyens didactiques (laboratoires et centres de documentation notamment) ; la consolidation de la professionnalisation ; l’amélioration de la mise en œuvre du système intégré de gestion des établissements du supérieur ; la promotion de l’agriculture de deuxième génération ; l’affermissement du dialogue social, de la paix et de la sérénité sur les campus ; la consolidation de l’école doctorale – spécifiquement dans le sens d’une plus grande articulation entre la recherche universitaire et les problèmes de développement ; etc. Ces défis sont courageusement affrontés au quotidien par une équipe dynamique.
Un saut qualitatif dans la gouvernance numérique
Au cours de l’année académique 2013/2014, l’UDs a fait un bond dans la gouvernance numérique. Elle entend poursuivre dans la même lancée sa modernisation numérique dans les années qui viennent. Le processus de gestion à distance sur une plateforme numérique de la scolarité des étudiants est désormais enclenché à partir des préinscriptions, inscriptions, paiement des droits universitaires, etc., en ligne. Avec sigesonline, les étudiants, tout autant que le personnel des services de scolarité des établissements et même les parents d’étudiants se sont rapidement mis à la page. L’évolution des fonctionnalités et de l’utilisation de la plateforme conduira vers d’autres services en ligne à valeur ajoutée pour les étudiants. Au-delà d’un site web dynamique par exemple – portail d’information par excellence de l’université – l’UDs est appelée à s’inscrire positivement dans divers réseaux sociaux qui renforcent ses liens avec cette communauté d’apprenants, d’enseignants, de chercheurs et de professionnels dans divers champs d’activités.
Un renouveau de la gouvernance infrastructurelle
L’UDs célèbre depuis quelques années le renouveau de sa gouvernance infrastructurelle. A Bandjoun, un nouveau complexe administratif et pédagogique qui s’offre à la vue dès l’entrée du campus est en utilisation depuis 2014. A Dschang, l’amphithéâtre de 1000 places, qui trône désormais majestueusement sur le campus principal, entre en utilisation en 2015. Les travaux du bloc laboratoire de la FASA et du bloc décanat inter facultaire sont terminés. A Ebolowa, où il y a la filière des métiers du bois, de l’eau et de l’environnement de la FASA, l’édification des infrastructures pédagogiques et administratives se poursuit sereinement. A Foumban, l’éblouissant complexe administratif de l’IBAF se dresse fièrement à l’entrée de la « cité des arts ». Dans les antennes, des aménagements sont faits en lien avec la sécurisation foncière. A Maroua, le tout premier Centre d’études pour l’environnement et le développement du Cameroun a repris pleine vie avec la nomination, par le ministre de l’Enseignement supérieur, d’une nouvelle chef d’antenne. Il en est de même pour le CRESA-Forêts Bois de Yaoundé-Nkolbisson où le nouveau chef d’antenne redynamise autant les programmes d’enseignement que les pratiques d’hygiène et de salubrité pour protéger le patrimoine. Bambui, aussi, subit une cure de jouvence avec le point d’honneur mis par la chef d’antenne sur l’entretien curatif des infrastructures qui accueillent les élèves-ingénieurs lors de leurs stages écologiques.
La professionnalisation à la croisée des initiatives
L’UDs poursuit sa logique de professionnalisation des enseignements. En dehors de la FASA, de l’IUT et de l’IBAF dont la vocation est la formation à des métiers, toutes les facultés (FLSH, FSJP, FS, FSEG) ont de multiples formations professionnelles de niveau licence et/ou master. Toutes ces formations sont consultables sur le site web de l’UDs, www.univ-dschang.org, qui diffuse par ailleurs des informations générales sur les activités de l’institution. Au sujet de ces filières professionnelles, celle qui était sous les feux de l’actualité au 1er semestre 2014, c’est la filière « sciences biomédicales » de la FS qui forme pour des masters de pharmacie et de kinésithérapie en délocalisation des universités italiennes. La première partie de la formation (3 semestres) a lieu à Dschang et la seconde (3 semestres) en Italie. La promotion inaugurale des 17 élèves-pharmaciens est allée terminer les études dans les universités de Camerino et d’Urbino en fin février 2014. L’UDs assure par ailleurs la tutelle académique d’une trentaine d’Instituts privés d’enseignement supérieur.
Le GIE/UDs, une interface entre l’université et la société
Pour donner pleinement leur sens à ses efforts pour le progrès, l’UDs articule la formation et le développement. C’est dans ce sens et, subsidiairement, dans l’espoir d’ouvrir des possibilités de ressources additionnelles faire plus efficacement face aux pesantes charges de l’institution, que le Groupement d’Intérêt Economique (GIE) créé en 2006 a été revigoré. A l’intérieur de l’université, le GIE a rationnalisé l’exploitation de certains capitaux jadis immobilisés (fermes, matériel roulant, équipements fixes, etc.). Il a constitué un pool d’experts intervenant dans des domaines très variés. Hors de l’UDs, le GIE appuie le gouvernement dans de nombreux projets et sait se mettre au service des populations pour contribuer à leur développement. A travers cette organisation, l’UDs voudrait se positionner désormais, entre autres, comme un centre d’excellence pour l’économie verte et le développement durable.
In fine, l’Université de Dschang qui, comme toutes les autres universités d’Etat, remplit des missions d’enseignement, de recherche et d’appui au développement, entend ainsi apporter décisivement son concours à la poursuite de l’objectif d’émergence décliné dans cette vision : « Le Cameroun : un pays émergent, démocratique et uni dans sa diversité » à l’horizon 2035.